Etes-vous sériephile ? sérievore ? ou série addict ?
Comme tout bon amateur de série télévisée, avez-vous été nourri dès votre plus jeune âge au sein des séries françaises ou étrangères ? Un peu, beaucoup, passionnément ?

Dès le démarrage de la télévision en France, les séries ont trouvé une place de choix à l’antenne de l’unique chaîne nationale. Les épisodes étaient diffusés au compte-goutte. Difficile à imaginer pour la nouvelle génération de séries addict qui, abonnés aux plateformes de streaming, visionnent une saison en un week-end.
Ainsi, pour chacun de nous, il existe des séries dont il n’était pas question de rater le jour de diffusion. Fédératrices, on aimait les regarder en famille. Et le lendemain, on en parlait dans la cour d’école.
Quelquefois, je repense avec nostalgie aux séries qui ont bercé mon enfance et mon adolescence. Lorsqu’elles ne furent plus diffusées, j’ai acheté les cassettes VHS, puis les DVD. Pour pouvoir à nouveau les visionner quand bon me semble. Et lorsque des chaînes les programment à nouveau en version remastérisée, je suis encore fidèle, m’arrêtant de zapper dès que j’entends le générique inoubliable.
Dans ma liste figurent notamment Belle et Sébastien, Deux ans de vacances, Vidocq, Chapeau melon et bottes de cuir, Arsène Lupin, Amicalement vôtre, Drôles de dames, Magnum, La petite maison dans la prairie. Pour ne citer que les plus anciennes.
Cet amour pour les séries ne m’a jamais quittée. Au fil des décennies, ma liste s’est étoffée : Madame est servie, Friends, Médium, Mentalist, Castle, Dr House. J’en passe et des meilleurs.
Plongeons dans nos souvenirs et évoquons ensemble ces séries que nous aimons tant, si vous le voulez bien.
Par Véronique Infante
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Une ambiance so british. Chapeau melon sur la tête et parapluie au bras, le flegmatique John Steed est accompagné, à partir de la deuxième saison, par une partenaire féminine pour résoudre des intrigues d’une variété hors du commun. Cathy Gale ? Emma Peel ? Tara King ? Purdey ? Laquelle préférez-vous ?
Cette série emblématique de l’ORTF comporte treize épisodes de 26 minutes, en noir et blanc. Réalisé par Cécile Aubry, le feuilleton relate les aventures de Sébastien, jeune orphelin, et de Belle, une chienne de montagne des Pyrénées.